George ORWELL n’a pas écrit que 1984, il a aussi écrit DANS LA DECHE A PARIS ET A LONDRES où il n’est pas seulement question d’échecs … mais aussi d’échecs, c’est à dire d’échecs avec un échiquier. Même si l’échiquier il y en avait pas trop vu la dèche. Extrait : « Faute d’échiquier, nous marquions les coups sur une feuille de papier.Par la suite nous en vînmes à fabriquer un plateau avec un coté de caisse, et des pions et des figures à l’aide de vieux boutons, pièces de monnaie belges, etc. Comme beaucoup de russes Boris avait la passion des échecs. Il répétait à satiété que les règles du jeu d’échecs sont les mêmes que celles qui régissent l’amour et la guerre, et que si l’on est capable de gagner dans le premier cas on gagnera aussi dans les autres.Mais il disait aussi que, face à un échiquier, on ne se sent jamais le ventre creux … »
Conclusions : le matériel est accessoire, une partie d’échecs vaut un repas, et en gagnant aux échecs on gagne sur tous les tableaux.
tous les passions sont formidables.
elles peuvent permettre de tenir le coup dans les moments difficiles de la vie.
c'est vrai : jouez aux échecs !!!